
Speed rehab, opérateur global dédié à la reconversion des usines à gaz
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Le gaz produit dans les usines générait deux familles de polluants :
- Les goudrons, composés en grande majorité d’HAP (Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), d’hydrocarbures HCT (Hydrocarbures Totaux) C10-C40 et de BTEX (Benzène, Toluène, Éthylbenzène, Xylènes). Les goudrons étaient généralement stockés dans des cuves réalisées en maçonnerie et enterrées dans le sol.
- Les Eaux ammoniacales : composées en grande majorité de BTX (Benzène, Toluène et Xylènes), d’ammonium et d’HAP(Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), les eaux étaient stockées dans des cuves étanches enterrées.
La dépollution est réalisée dans la majorité des cas par des excavations ciblées sur les zones de pollution concentrée. Ces excavations sont réalisées à la pelle mécanique, les terres excavées sont chargées dans des camions semi-remorques pour éliminer les terres polluées dans des filières hors site spécialisées dument autorisées pour traitement ou stockage en tant que déchet dangereux.
Les techniques de dépollution comme la phytoremédiation (dépollution par les plantes) ne permettent pas de traiter les pollutions lourdes, profondes et peu accessibles, typiquement rencontrée sur les sites d’anciennes usines à gaz.
La dépollution consiste à atteindre les objectifs de réhabilitation fixés au Plan de Gestion et le cas échéant encadrés par Arrêté Préfectoral. L’atteinte de ces objectifs permet de garantir la compatibilité sanitaire et environnemental du site après dépollution avec le projet envisagé. Une pollution résiduelle peut encore être présente ; Elle sera prise en compte et conduira à la mise en place de restrictions d’usage couramment retenues sur les projets de reconversion de friches (par exemple : recouvrement des espaces nus par de la terre végétale, interdiction d’utiliser les eau souterraines, interdiction de réaliser des jardins potagers en pleine terre…)
Actualités & transformations

Réhabilitation de l’ancienne usine à gaz de La Rochelle : le point au 8 septembre 2025
De nombreuses personnes plus ou moins informées se sont exprimées sur le chantier suite à plusieurs épisodes de nuisances olfactives. Pour ne pas interférer avec la communication des services préfectoraux, nous sommes restés volontairement en retrait des débats. Aujourd’hui, face à l’émotion et notamment l’inquiétude légitime des parents d’élèves, il nous semble important de rappeler certains faits, à commencer par l’information la plus importante : l’absence de risque sanitaire depuis le début du chantier confirmée par tous les organismes consultés.