
Speed rehab, opérateur global dédié à la reconversion des usines à gaz
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Le gaz produit dans les usines générait deux familles de polluants :
- Les goudrons, composés en grande majorité d’HAP (Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), d’hydrocarbures HCT (Hydrocarbures Totaux) C10-C40 et de BTEX (Benzène, Toluène, Éthylbenzène, Xylènes). Les goudrons étaient généralement stockés dans des cuves réalisées en maçonnerie et enterrées dans le sol.
- Les Eaux ammoniacales : composées en grande majorité de BTX (Benzène, Toluène et Xylènes), d’ammonium et d’HAP(Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), les eaux étaient stockées dans des cuves étanches enterrées.
La dépollution est réalisée dans la majorité des cas par des excavations ciblées sur les zones de pollution concentrée. Ces excavations sont réalisées à la pelle mécanique, les terres excavées sont chargées dans des camions semi-remorques pour éliminer les terres polluées dans des filières hors site spécialisées dument autorisées pour traitement ou stockage en tant que déchet dangereux.
Les techniques de dépollution comme la phytoremédiation (dépollution par les plantes) ne permettent pas de traiter les pollutions lourdes, profondes et peu accessibles, typiquement rencontrée sur les sites d’anciennes usines à gaz.
La dépollution consiste à atteindre les objectifs de réhabilitation fixés au Plan de Gestion et le cas échéant encadrés par Arrêté Préfectoral. L’atteinte de ces objectifs permet de garantir la compatibilité sanitaire et environnemental du site après dépollution avec le projet envisagé. Une pollution résiduelle peut encore être présente ; Elle sera prise en compte et conduira à la mise en place de restrictions d’usage couramment retenues sur les projets de reconversion de friches (par exemple : recouvrement des espaces nus par de la terre végétale, interdiction d’utiliser les eau souterraines, interdiction de réaliser des jardins potagers en pleine terre…)
Actualités & transformations

L’usine à gaz de Saint-Gilles-Croix-de-Vie fait place à une résidence de 56 logements
Fin mai, la première pierre de la résidence Opale était officiellement posée par François Blanchet, maire de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Là où se dressait une friche industrielle inoccupée depuis 2011, un ensemble de logements respectueux de l’environnement verra bientôt le jour. Après six mois de travaux de dépollution, le chantier de construction est désormais lancé. Les premiers habitants emménageront à partir de la rentrée 2026.